Volet 6
La page a déménagé. Pour lire l’article cliquez ici : L’auteur indé numérique est-il un passionné ou un marchand ?

Chris Simon _ Licence Creative Commons BY-NC
1ère mise en ligne et dernière modification le 29 novembre 2013.
Volet 6
La page a déménagé. Pour lire l’article cliquez ici : L’auteur indé numérique est-il un passionné ou un marchand ?
Chris Simon _ Licence Creative Commons BY-NC
1ère mise en ligne et dernière modification le 29 novembre 2013.
« L’auteur indépendant écrira ce qu’il veut, non pas uniquement ce qui se vend, car la tentation va être grande pour tous (auteurs, éditeurs et diffuseurs confondus) de se concentrer sur le gain plutôt que sur le contenu. »
Mais cette tentation existera tout autant pour l’auteur indépendant !
Quand on regarde le marché auto-publié indé US, on voit bien que certains visent explicitement le gain plus que l’écriture.
Ce qui n’empêche pas d’ailleurs d’autres de viser l’écriture plus que le gain.
L’indépendance comme gage de « non commercialité », je n’y crois plus. Ce qui n’empêchera pas les auteurs qui le souhaitent de tenter le non-commercial, comme certains éditeurs le font depuis longtemps.
Là où le numérique avance, c’est qu’il donne à ce non-commercial la même visibilité de base et diffusion qu’au commercial.
En attendant, merci de m’avoir alléché avec « Judaïc park »… me voilà impatient 😉
Oui, la tentation est grande pour tous ! (Greed 😉 !). Contente que cela te donne envie. Je travaille en ce moment sur Judaïc Park et espère le sortir vers noël ! Plus plus tard. Bonne jourée.
Bravo Chris, que la qualité de ton travail et ta persévérance puisse inspirer plus d’un auteur auto-édité!
Merci. Nous vivons une époque formidable pour les auteurs. C’est une chance à saisir. Bonne journée.
Bravo ! Quel courage, quelle persévérance, mais aussi quel fruit !
A chacun de nos jours de sortir de sa coquille trop protectrice.
Je considère tout de même que c’est un vrai gâchis que l’auteur(e) ait à prendre du temps pour tout ce travail d’apprentissage autour de l’édition au détriment du cœur de son œuvre, alors que c’est le travail du véritable éditeur.
Merci pour les encouragements. Un gâchis, je ne suis pas sûre. Il y a dans les maisons d’éditions traditionnelles de nombreux auteurs qui sont éditeurs ou directeurs de publication. Il me semble que l’expérience éditoriale enrichit aussi un auteur, non ?
Tout nous enrichit. Le temps passé à certaines choses l’est quand même au détriment d’autres. Après, chacun apprécie personnellement son enrichissement. Mais pourquoi faire ce que quelqu’un peut faire de manière, en outre, complémentaire ? 🙂
Oui. Mais le temps que tu passes à chercher un éditeuuuuur… Tu ne le passes pas à écrire, non plus ! 😉 Brrrr, la vie d’auteur.
Je retiens de ce post le lien étroit existant entre le lecteur et l’auteur et la comparaison avec l’acteur, ce côté théâtre qui suggère à l’acteur (l’auteur) de modifier sans cesse son jeu (son écriture). C’est intéressant comme remarque; cette connivence du donneur et du receveur que l’on ne peut guère goûter en tant qu’écrivain « traditionnel » sauf peut-être lors de séances de dédicace. Je pense que c’est très juste.
Je pense aussi que le numérique nous pousse peut-être à écrire trop vite, à nous dépêcher tant la joie de voir son écrit disponible sur la Toile est tentante. J’essaie de freiner mes ardeurs et de laisser dans le congélateur quelques écrits mal fagotés pour pouvoir les réchauffer et leur donner une nouvelle fraîcheur, plus aboutie.
En tout cas, bravo pour cette année féconde.
Avec l’expérience, l’auteur prend du recul et effectivement ne publie pas tout et tout de suite ;-). De débutant, il passe à expérimenté ! Bonne continuation.
Si tu as le temps, lis un jour mon article sur FB, date de juillet. C’était un coup de gueule contre la mauvaise écriture qui en définitive dégoûte le lecteur assidu.
Civilisation et Ecriture
18 juillet 2013, 13:01
https://www.facebook.com/notes/marilyn-gillaizeau/civilisation-et-ecriture/613024522063410
Je l’ai lu. Je crois que le lecteur assidu a moins de chance de se tromper sur ses choix de lectures que le lecteur occasionnel, parce qu’il est expérimenté et qu’il a une meilleure connaissance de ce qu’il aime.
Merci pour ce billet.
Tu as raison, mais le lecteur expérimenté n’est plus à l’abri de ses erreurs dont le libraire ou la consultation directe de l’ouvrage avant achat le protégeaient.
Heureusement, de très bons blogueurs ont pris le relais. Il est tout aussi important de les faire connaître car c’est aujourd’hui eux qui font découvrir les auteurs et non plus quelques critiques omnipotents. Bonne semaine.
Bonne semaine à toi aussi !
Pingback: Les 5 points cardinaux de l’auteur-indépendant ! | LE BAISER DE LA MOUCHE